L'histoire d'Aliassan, paysans au grand coeur

Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 19/04/2006

Ce que je vais vous conté là est l'histoire d'Aliassan, l'histoire d'un homme qui fit son petit bout de chemin.
Tout commenca un jour de pringtemps, dans la maison de sir Gentleman, noble elfe ayant batti un royaume dans les terres de Stragion dans le passé, mais il était atteint d'un mal, un malefice tres ancien qui nuisait a sa vie. Ce malefice decuplait sa personnalité. Ne voulant nuir a son fief et a ses nombreux amis, il decida de quitter les terres de Stragion. Il érra ensuite plusieurs semaines puis rencontra une belle magicienne avec laquelle il s'etait installé dans cette maison. Il se rendit compte quelque semaine plus tard que depuis sa rencontre il ne souffrait plus de cette double personnalité. Il avait longtemps pensé que c'etait le fruit des nombreuses potions que lui préparé sa femme mais c'etait ensuite rendu compte que seul le sentiment qu'il eprouvait pour elle l'avait aidé a s'en sortir.
De leur rencontre et de leur vie commune naquit aliassan, un jeune magicien qui admirait ses parents. Jour apres jour, il s'entrainait avec son père et apprenait la magie avec sa mère. Il travaillait au champ mais il desirait la gloire et ne supportait plus la solitude.
Plusieurs années plus tard, vint la mort de son père gentleman. Connaissant son envie, sa mère l'envoya alors en stragion, ou il rencontra du monde mais etait jeune et encore inexperimenté. La bas, il rencontra Cellendhyll qui avait connu son père et qui lui donna un mot que Gentleman lui avait jadis transmit. Ce mot lui conseillait de faire confiance aux assassins de la cryptes et de faire partit de leur rang. Aliassan, étant peu experimenté et ayant comme seuls amis les loups avec lesquels il peut communiquer, suivit les conseils de son père et integra les assassins de la crypte. Ceux-ci l'aidèrent a ce developper et a integrer au mieux ces terres.

Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 19/04/2006

Jeune Athèbe
Qui êtes en ces lieux,
Jeune et jolie,
M'y paraît par vos yeux.
Enfin n'êtes-vous pas
Par vos brillants appas
Si belle que l'aurore ?
Partout je suis vos pas;
Je vous honore.

Je vous honore,
Le monde est jaloux;
Peut-être encore,
Me refuserez-vous ?
Vous méprisez toujours
Mes fidèles amours
O ma belle Athèbe,
Croyez-vous d'être toujours
Jeune et jolie ?

Dans la jeunesse,
Il y a de l'agrément;
Dans la vieillesse
Il y a du changement.
Le printemps a ses fleurs,
L'été a ses chaleurs,
L'hiver a sa rudesse;
Enfin tout est glacé
Dans la vieillesse.

Si pèr', mèr' grondent
Laissez-vous donc gronder,
Sans rien répondre,
Sans dire qui vous aimez.
Si tout'fois par discours
Ils vous défend'nt l'amour,
N'êtes-vous pas dans l'âge,
Bell', d'y pouvoir entrer
En mariage ?

Le mariage
C'est l'union des époux,
Et le vrai gage,
Le soutien de l'amour.
Dès qu'on est marié,
L'on doit toujours s'aimer,
Voilà le vrai partage
Qu'on doit se proposer
En mariage.

Il m'en faut une
Comm' du pain quotidien,
Soit blonde ou brune,
La couleur n'y fait rien.
Eh non ! je n'y tiens pas
Qu'elle ait de beaux appas
Ni talent, ni fortune;
Eh oui ! je le soutiens,
Il m'en faut une.

Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 19/04/2006

Voici le joli mois de mai
Qui est si joli et si gai,
Que toutes les fleurs
Prennent leur couleur,
Mon aimable cœur;
Belle, prenez-moi pour votre serviteur !

Là-haut, sur ces charmants rochers,
J'ai entendu le rossignol chanter,

Qui chantait vraiment
Fort gaillardement :
« Voici le printemps ! »
« O fille, prenez-moi donc pour votre amant ! »…

Vous autres, filles qui dormez,
Nous vous prions de vous lever !

Nous vous apportons
La collation
Au son du violon.
Et voici la vie que les garçons font !…

— Messieurs, nous vous remercions
De vos beaux airs du violon !

Et dans la maison
Tous sont endormis,
Mes parents aussi :
Ils ne veulent pas que nous sortions la nuit !…

» Au coeur joyeux